Mort sur mesure
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
-50%
Le deal à ne pas rater :
WiMiUS S27 – Mini projecteur portable rotatif à 270° Full HD 9000 ...
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

 

 Le vendeur et la stagiaire.

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Déborah Louis

Déborah Louis


Messages : 43
Date d'inscription : 07/03/2010

Le vendeur et la stagiaire. Empty
MessageSujet: Le vendeur et la stagiaire.   Le vendeur et la stagiaire. I_icon_minitimeVen 23 Avr - 16:35

J’entrai rapidement dans ma chambre pour prendre tout ce dont j’avais besoin. Serviette, vêtements, trousse à toilette, ça ne prit pas bien longtemps, j’avais le rangement dans la peau depuis le temps. Je passais tout ça rapidement dans un bagage que je pourrais facilement porter en bandoulière si jamais il me venait l’idée saugrenue de courir. J’optais pour des bottes à talon court, histoire d’avoir un minimum de prestance tout en gardant quelque chose d’assez pratique au pied. Il ne convenait pas à une future employée de l’Agence de se ridiculiser en se retrouvant affublée de crampes parce qu’elle avait courue avec des talons trop haut. Je passais rapidement en revue mon paquetage urbain puis je pris la direction de mon ordinateur portable.

Rapidement, via internet, je commandais les billets qu’il me suffirait de retirer à une borne une fois arriver à la gare. Je commençai à réfléchir à un petit bobard qui pourrait laisser entendre pourquoi j’étais à Paris puis à Marseille dans les jours qui venaient. On ne sait jamais, une question est si vite venue, mieux vaut y être préparée plutôt que de laisser venir le risque en fermant les yeux. Je passais le sac en bandoulière et observer un moment le contenu de mon sac à main, rien qui puisse me valoir un séjour en prison ou une honte trop visible si jamais il venait à se renverser. Bien, j’étais fin prête. Une vraie petite soldate qui venait de finir son balluchon avant de monter au front ! Ha, la métaphore n’était pas très probante, je n’avais rien d’une militaire, autant par le physique que de par la psychologie. J’étais une ingénieuse sensée devenir ingénieur. Finalement je ne serais qu’une ingénieuse devenue meurtrière.

Allons bon, ça n’était pas bien grave, je pouvais le supporter. Arrivée dans la cantine, le bruit toujours présent de mes talons du trahir ma présence aux oreilles de mon coéquipier. Je lui indiquais alors que j’avais pris les billets, et que, par la même occasion j’avais pris une chambre au Mercure… Hôtel trois étoiles situé juste à côté de ladite gare. Nous pourrions donc facilement nous rendre à celle-ci le lendemain lorsque nous aurions à trouver notre cible.
Revenir en haut Aller en bas
Kaniel Ismaël

Kaniel Ismaël


Messages : 15
Date d'inscription : 22/04/2010
Age : 32

Le vendeur et la stagiaire. Empty
MessageSujet: Re: Le vendeur et la stagiaire.   Le vendeur et la stagiaire. I_icon_minitimeVen 23 Avr - 23:29

La douce voix féminine de son équipière se fit entendre, Kaniel leva légèrement la tête puis fini par se redresser et ainsi se mettre sur ses jambes... En apparence Kaniel avait tout du gentleman, le charme, le charisme, la beauté et j'en passe... Enfin ce dernier esquissa un léger sourire découvrant ses dents blanches, puis ouvrit la bouche pour parler.

« D'accord, alors comme ça tout est fini et nous sommes prêts à partir à la chasse ? Hum... Puis-je me permettre une question ? D'abord, je tiens à me présenter officiellement. Ismaël Kaniel. »

Après ces quelques paroles ce dernier tendit une main amicale à son interlocutrice afin de conclure cette présentation et ainsi pouvoir se mettre en route. L'espoir de Kaniel et sa détermination pour devenir un Agent opérationnel était intact. Son seul souhait était de lutter et protéger pour ce qui lui était le plus cher. Bien sûr l'idée d'assassiner de parfait inconnus peut paraître complètement stupide quand on n'y pense mais, cela peut avoir différente raisons comme protéger leurs intérêts, protéger sa famille ou que sais-je...

Le fait de tuer peut avoir de lourde conséquences sur la personne qui exécute cet ordre... Ôter la vie à un être humain quel que soit les pêchés qu'il a commis dans le passé ou dans un futur proche... Enfin tout cela pour dire que l'assassinat on la dans le sang comme une seconde nature ou pas.

Bref, Kaniel était la debout devant Deborah un large sourire charmant barrant son visage au air d'ange... Après avoir écouté ainsi que réfléchit il fit un signe de la tête pour dire go...
Revenir en haut Aller en bas
Déborah Louis

Déborah Louis


Messages : 43
Date d'inscription : 07/03/2010

Le vendeur et la stagiaire. Empty
MessageSujet: Re: Le vendeur et la stagiaire.   Le vendeur et la stagiaire. I_icon_minitimeSam 24 Avr - 12:14

Je regardai un moment le gars qui allait m’accompagné dans cette petite excursion en milieu ferroviaire. Pour un type qui voulait se donnait l’air d’un grand charmeur, il avait plutôt l’air d’un dépressif à peine sortie du ruisseau. Bon dieu ce qu’il faisait jeune, je n’avais jamais vraiment apprécié ce style. Le jeune plein d’énergie ou un peu trop intelligent, ces deux stéréotypes qui plaisaient à tant de membres de la gente féminine ne m’évoquaient rien de plus que de la perplexité. Avec un petit sourire aux lèvres je repensais à l’instructeur qui m’avait "accrochée" – comme disent les membres de l’Agence.

Un homme qui avait du vécu à n’en pas douter et qui avait plus d’expérience que la plupart des ingénieurs que j’avais pu connaître. Quelqu’un qui m’avait introduite au monde de l’assassinat en très peu de temps. Un accident de voiture, un constat, un arrangement à l’amiable… Puis une étrange proposition de contrat qui m’avait finalement attiré dans un endroit que je pensais être un bureau d’étude dans le domaine de la conception automobile. Un homme tout à fait plaisant, vraiment. Je me demandais s’il m’avait donné son véritable nom.

Mais qu’elle importance au final ? J’écoutais avec attention l’intervention de ce jeune homme à la mine de moribond qui semblait soudain possédé par Pierce Brosnan. Pouvait-il poser une question ? Mais n’était-ce pas là une question ? Les expressions françaises avaient souvent le don d’être d’une stupidité flagrante. Me permettant un léger sourire je lui répondais alors tranquillement :

"Sophie, enchantée. Ta question ?"

Je saisis mon sac en guise de conclusion à ces prémices de mission et me dirigeai vers la sortie. Il nous suffisait de rejoindre la gare pour pouvoir partir pour Paris. Je me demandai un moment comment j’allais pouvoir mettre cette femme dans de bonnes conditions pour se faire chourer son portable sans trop d’inquiétude. Il y avait tant de questions auxquelles les réponses manquaient ! Voyagerait-elle seule ? Quel était son emploi ? Avait-elle un faible pour une chose qui me permettrait d’entamer une conversation ?

Tout allait se jouer au feeling, ça avait le don de m’énerver. J’avais sut cultiver un esprit pragmatique tout au long de mes études et de mon parcours professionnel, ça n’était sûrement pas pour finir avec des "impressions". Surtout que l’envie de décevoir mes instructeurs était assez mince, Dieu seul savait ce qu’ils étaient capable de faire pour me "remettre dans le droit chemin"… Et puis l’Agence était-elle du genre à virer ses employés ou à les exécuter sommairement ? J’avais du mal à me rendre compte. Bon, il me restait mon sens de la logique. Il fallait vite que je me trouve une couverture…

Ca faisait très "film d’espionnage" tout ça, mais c’était vraiment le cas. Est-ce que je pouvais me permettre de m’introduire comme étant une stagiaire dans l’automobile ? Ca ne risquait pas de me mettre trop à découvert ? Au moins j’étais certaine qu’elle ne me poserait pas de colle sur le sujet. Non, il fallait quelque chose de moins inquiétant, les gens font plus confiance à ceux qui ne représentent pas de gros ennuis. Quelqu’un qui a une formation d’ingénieur apparaît un peu trop comme quelqu’un de très intelligent. J’étais bien placé pour savoir que ça n’était pas toujours le cas… Loin de là même ! Je fignolerais tout ça dans la chambre d’hôtel mais j’avais déjà plusieurs idées : étudiante en droit trop fêtarde, fille en dépression qui a arrêté les études, artiste du genre un peu marginale…

Tout ça était très loin de ma personnalité, mais c’était sans doute une des raisons pour lesquelles je les trouvais inoffensives. Je ne m’étais jamais vraiment considérée comme une victime, je dois l’avouer. Ca n’était pas à présent, lorsque j’étais en plein apprentissage du métier d’assassin, que j’allais me considérer comme tel ! Pas d’arme, pas de meurtre, pas de délit. Je n’allais même pas voler cette femme, j’allais simplement l’espionner. Ca n’était pas illégal. Ce qu’il fallait éviter c’était les bavures, d’être repérée, ou encore d’échouer lamentablement. Un trajet de Paris à Marseille devait durer quelques heures, même en TGV ! Je continuais à marcher l’esprit un peu perdu dans mes pensées lorsque je repensais soudain à la question que devait me poser mon collègue…
Revenir en haut Aller en bas
Kaniel Ismaël

Kaniel Ismaël


Messages : 15
Date d'inscription : 22/04/2010
Age : 32

Le vendeur et la stagiaire. Empty
MessageSujet: Re: Le vendeur et la stagiaire.   Le vendeur et la stagiaire. I_icon_minitimeSam 24 Avr - 15:17

[FlashBack]

" Stop, stop !
- Calme toi Kaniel... Chut chut... "


Une femme âgé d'une trentaine d'années serré contre elle un jeune enfant nommé Kaniel son fils. Il versait des sanglots, sa mère ne laisser apparaitre aucune émotion de peur ou de tristesse... Pour elle c'était son quotidien. Le marie fini le boulot à 16h00 de la il se rend au bistro du coin, rendre à 18h10 bourré comme un coin puis, il se livre à son activité préféré depuis plus de 10 ans... Cogner sur sa femme et son fils et fini par la violer comme tous les soirs. Vous me direz comme quoi elle a dû le chercher ? Et bah nan. Anael la mère de Kaniel était une femme à l'esprit grand ouvert, toujours prête à se lancer dans l'impossible, donné les meilleurs conseils à ses amies Juifes sans qu'elle ne les applique pour elle... On pouvait bien dire que cette femme était une perle, dommage qu'Adam son père l'est tué sous ses coups d'une rare violence... Bien entendu Kaniel assisté à chaque moment de sa triste vie il a vu bien plus la police qu'il ne l'aurait espéré il se fait battre pendant des années sans pouvoir se protéger... Comment un enfant pareil a-t-il put survivre à cela seul ? Et bien, cette question ne fut jamais éclaircie par Kaniel qui continue de se la poser chaque jour en se torturant l'esprit de son histoire passée...

[Fin FlashBack]

Kaniel n'avait rien entendu ou presque de ce que sa collègue lui dit mais, il hocha la tête comme pour dire "compris" bien qu'il n'avait rien écouté... Kaniel était du genre solitaire, renfermé, sans aucune relation sentimentale ou sociable. La rage qu'il portait chaque jour avec lui ne cesser de grandir pour en prendre des proportions énormes... Cette pourrait peut-être bien lui servir au cours de son entrainement à l'Agence, il se pourrait même qu'il apprenne plus vite que certains, il possède un esprit très vif et une intelligence des plus remarquables... Cependant, il ne faut pas le prendre comme un génie parce qu'il est loin de l'être, certes son intelligence est classée légèrement au-dessus de la moyenne mais ce n'est pas pour autant qu'il est excellent dans tous les domaines... Ses capacités à réfléchir lui sont d'un grand secours, effectivement Kaniel réfléchit plus vite que les autres ce qui nous amène à dire qu'il agit plus vite, et si cette capacité pourrait être exploitée par un instructeur de l'Agence ce dernier pourrait se rendre plus utile lors de mission difficile. Or, pour l'instant Kaniel n'est qu'un brève débutant dans le métier, sans expérience du combat, de l'infiltration et tout ce qui s'en rapporte... L'Agence l'avait bien informé et ses petites recherches pendant son temps libre l'a bien aidé aussi...


...

Kaniel souleva brièvement la manche gauche de sa chemise puis regarda l'heure. Il était 15h00, le temps de partir pour ne pas rater le train. Ce dernier se caressa la barbe qu'il n'avait rasé depuis "3 jours"... C'était discret, est plutôt virile...
Enfin, Kaniel pris les devants en prenons soin de ne pas répondre à la question qu'il voulait poser à sa collègue de travail... Quelque chose le mettait mal à l'aise avec elle mais quoi ? Il ne le savait pas du moins, pas encore. Ce splendide gentleman ouvrit la marche puis fini par prendre la sortie arrière de la cantine qui donné directement accès au parking de l'Agence. Kaniel pris une longue bouffé d'air pris ses lunettes de soleil qu'il mit avant de lever lentement la tête vers le soleil et de sourire...
Revenir en haut Aller en bas
Déborah Louis

Déborah Louis


Messages : 43
Date d'inscription : 07/03/2010

Le vendeur et la stagiaire. Empty
MessageSujet: Re: Le vendeur et la stagiaire.   Le vendeur et la stagiaire. I_icon_minitimeSam 24 Avr - 15:53

L’antipathie que m’inspirait ce type allait croissante… D’aucuns diraient que j’avais le jugement hâtif et qu’au fond de lui sans doute se cachait un être en or. Ha je me demandais à l’instant pourquoi la plupart des gens étaient si indulgents lorsqu’il s’agissait des inconnus et aussi caractéristiques lorsqu’il s’agissait de proches… Autant il est normal de s’imaginer qu’on connait mieux les gens qu’on côtoie souvent plutôt que ceux qu’on ne croise jamais. Mais pourquoi faire preuve de plus de clémence pour une personne avec laquelle on n’a aucune attache que pour une personne envers laquelle on éprouve des sentiments ? Ce type, je ne le connaissais pas, et à vrai dire il ne me disait rien. Je ne savais pas exactement s’il mettait des lunettes pour masquer ses yeux ou pour se cacher du soleil, mais quoi qu’il en soit sa coquetterie ne m’inspirait rien de bon. Je m’efforçais d’observer les alentours plutôt que de lui lancer un regard mi-intrigué, mi-exaspéré et me frayait un chemin jusqu’à la rue. Rejoindre la gare, en voilà une bonne idée. Mais au final est-ce que ce type serait efficace ?

Je ne me prétendais pas experte en matière de relations sociales, ni fine psychologue ou quoi que ce soit de ce genre. J’avais un esprit parfois trop ancré dans la logique pour me permettre de comprendre certaines émotions que j’apercevais chez les autres. A vrai dire les miennes aussi me laissaient parfois perplexe. Ne m’étais-je pas entiché un jour d’un de ces machos sans cervelles que j’avais trouvé au travail ? Tout ça parce que je lui trouvais de l’humour ou de la délicatesse. Une bien belle façade qu’il n’avait cessé d’élaborer dans le but de me faire rejoindre ses draps. Un porc parmi tant d’autres. Et bien soit, je n’étais pas la reine des rapports humains. Mais ce type était plus lunatique qu’une boussole dans un scanner à IRM. Il y a de ça quelques petites secondes le gars en question jouait les grands princes à se présenter et me demander aimablement si ma personne ne serait pas trop offusquée qu’on lui expose une interrogation… Et maintenant il s’enfermait dans un silence gaga avec un sourire à la Gilbert Montagné, manquait plus qu’il chante gugusse.

Ce type qui de toute évidence n’était pas plus français qu’un Ouzbek naturalisé dans le Laos avait réussi en un instant, et sans faire appel aux détonateurs classiques, à faire exploser mes ambitions de solitude. Ha… Je me demandais qui allait trimballer qui, parce qu’au final il était tout à fait possible qu’il soit très doué ce jeune homme, mais en tout cas ça n’allait pas être la grande gloire. Une sombre aura de malédiction se propagea tout autour de moi. Triste souvenir, ha Dieu quel triste mémoire que celle qui venait me harceler alors ! Je n’avais pris qu’une chambre dans ce maudit hôtel, peut-être parce que deux personnes prenant une même chambre au même moment étaient plus discrètes que deux personnes faisant mine de ne pas se connaître et prenant deux chambres. Ou parce que je voulais économiser, je ne sais pas.

Quoi qu’il en soit je me voyais maintenant en train de regretter mon geste ! J’aurai du prétendre qu’on était collègue, ou cousins lointains, un truc dans le genre. Ca aurait expliqué le fait que nous dormions tous les deux dans des chambres séparés. Ha, mais qu’est-ce que j’avais fait nom d’un chien ! Ma plus belle erreur depuis que j’avais incorporé les rangs des élèves de l’Agence ! Je marchais d’un pas décidé, je n’allais pas jusqu’à courir, mais l’envie de me retrouver seule à effectuer toutes les joyeusetés me taraudait à présent. Pourvu que ce type soit plus doué pour remplir cette mission que pour me paraître aimable. J’avais en cet instant oublier toutes mes belles réflexions sur le fait qu’il vaille mieux avoir quelques alliés que de nombreux ennemis dans un environnement aussi sujet à la violence. Oui, ça me passait alors bien au dessus de la tête.

Ce type m’était si antipathique qu’il m’était presque donné de croire qu’il valait mieux l’avoir contre soi plutôt que d’être dans son camps. Mais je m’efforçais de garder à l’esprit que les apparences pouvaient être trompeuse, rien ne me disait qu’il n’avait pas déjà un plan en tête. En attendant, je m’efforçais d’élaborer le mien. Est-ce que j’arriverai à trouver une solution où je pourrais me permettre d’être la seule à opérer… Et si jamais je m’essayais à cette cascade, est-ce que mon camarade n’allait pas tout mettre en vrac pour la simple raison que je l’avais mis de côté ? Je me le demandais franchement, quoi qu’il en soit ses manières m’interdisaient de lui adresser plus longtemps la parole. Je n’étais pas d’humeur à jouer les jeunes béates qui posent deux fois les questions parce qu’elles ont peur d’avoir mal prononcé. Du peu que j’en savais ma locution était assez bonne, et il m’était donné de croire qu’elle était exempte de toute erreur lorsque mon intervention était au-deçà des dix mots.

Et nom de Dieu je n’en avais prononcé que quatre et ce sinistre personnage ne daignait pas répondre ! Et bien soit, si jamais il s’avérait que son concours me semblait nécessaire à l’accomplissement de cette mission, je l’informerais. Hors de ce cas, je ne comptais pas m’acharner plus longtemps dans les civilités. Il restait muet ? Soit, qu’il ferme sa gueule… Les hommes avaient donc gardé le don de m’exaspérer… A commencer par Wallas qui nous avait lâchés après quatre phrases. Maintenant c’était lui qui jouait les girouettes ! Me rester à savoir s’il n’allait pas soudain décider que la mission n’avait plus d’importance… Une petite voix en moi commença à m’inciter à lui réclamer le remboursement de son billet…
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Le vendeur et la stagiaire. Empty
MessageSujet: Re: Le vendeur et la stagiaire.   Le vendeur et la stagiaire. I_icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Le vendeur et la stagiaire.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Mort sur mesure :: L'Agence :: Quartiers :: Cantine-
Sauter vers: